J’ai ouvert la porte de mon cœur au bon berger, Jésus. Pourtant, il pouvait casser la porte ou démolir l’enclos. Mais, Il respecte mon droit d’accepter ou non. Il n’abuse pas de ma faiblesse. Il me laisse le choix et respecte mon choix. De sa voix paisible, Il m’appelle par mon nom parce qu’Il me connait. A ses yeux, j’existe. Je ne suis pas un numéro de téléphone qu’on compose quand on a envie de s’amuser ou un objet de plaisir dont on se sert à volonté et qu’on jette après utilisation. Je ne suis pas moins important qu’un président. Quel honneur !

Quand je suis parvenue à reconnaitre sa voix, Il m’amène hors de mon enclos (ce mur, cette barrière psychologique construite dans ma tête avec des matériaux provenant du rejet, de la honte, de la solitude…voir texte précédent). Et là, je découvre que le monde est rempli de bonnes personnes et qu’il suffisait de savoir où chercher et d’être conduit par un bon berger. Désormais, je peux me faire des amis sans avoir peur du rejet, de la honte, de l’exclusion…parce que je fais confiance au bon berger. Je peux m’exprimer avec assurance devant les autres sans complexe parce que je sais qu’Il marche devant moi. Alléluia !

Verset à méditer : Jean 10.3

Note : Tous les textes bibliques de cette série sont tirés de la Bible, version Darby, sauf indication contraire.